Nous y voilà...j'ai eu l'immense chance d'avoir pu écouter le nouvel opus de PLACEBO "MEDS" je saisis cette occasion pour remercier le "sorcier de la zik" pour m'avoir offert cette primeur
Je vous confesse que j'avais peur, très peur ayant lu des critiques très dures sur cet album...mais non il n'en est rien, je ne suis absolument pas déçue, les mélodies sont particulièrement soignées. Me voici projetée dans les méandres des écorchures de l'invisible, une ballade en funambule de l'âme. La voix de Molko toujours aussi envoûtante, ronde, chaleureusement désespérée, hypnotisant mes émotions. Il y a qqch d'obsédant dans cet album et c'est sans difficulté je me laisse conter les tourments et me laisser glisser lentement dans la forêt magiquement douce amer de profundis.
Alors l'album commence avec :
Meds > duo au passage fait avec la chanteuse des Kills, Alison Mosshart. Tout commence avec de la guitare accoustic et la mélodie est dans un premier temps faite que par la voix si unique de Brian Molko ensuite se rajoute les sons électriques et la voix d'Alison murmurant "Baby did you forget to take your meds" ponctuant de volupté torturée certes le titre. Plus on avance dans la chanson et plus on monte en intensité avec la subtilité de savoir ponctuer des espaces de repos de l'âme
Infra-Red > où le retour élctro-électrique, presque mantrique dans le son, "obsédantatellement" délicieux. Le son est noir et les beats bien gras..."I can't see in the dark...Someone call an ambulance, there's gonna be an accident" en effet...j'ai pris un choc de l'anima dans le coeur
Drag > Bon alors... là c'est les sons classiques de Placebo, c'est pas la chanson que je préfère de l'album, elle passe tout à fait et en fait elle permet de respirer un peu comme la chanson est moins chargée émotionnellement. Je dirai que c'est un des titres les plus "pétillant" si je puis dire...
Space Monkey > je le dis tout de suite je l'adore c'est simple ! (berny si tu écoutes cette chanson tu peux me dire si c'est une reprise de Patti smith ? je crois qu'elle avait un titre similaire mais je suis pas experte en patti smith ) Il y a des sons techno, un zeste de piano accoustique et une bonne dose de rock.
Follow the cops back home > la chanson est plus lente que la précédente, une ballade pop glam, toute en douceur, comme si c'était l'aire de repos musicalement mais les paroles le sont moins, "Follow the cops back home and rob their houses”. C'est avec délicatesse que je me glisse comme un chat dans la nuit à pas feutré dans sa ballade. Oui oui je le suivrai pour suivre la police chez eux pour voler leur maison
Post blue > J'adore l'intro obsédante et litanique, "it's in the water baby, it's in your family tree, its between you and me". Tic, tac, le temps s'écoule et je m'enroule dans les sons, drapée de douce douceur et la voix de Brian par moment emitoufflée par le son d'un micro vintage. "I'll brake the back (black?) of love for you".
Because I want you > Et hop on alterne et zou une bonne gimmick et zou...on part dans l'électro-rock si cher à Placebo et j'ouvre ici les paris en disant que c'est celle-ci qu'on va nous passer en boucle sur les ondes. Et c'est avec ce genre de titre qu'on va entendre dire "ah mais ils évoluent pas" merci les gens des radios de tjs choisir la facilité dans les choix de lancement. Donc voici la chanson la plus optimiste de l'album "Don't give up on the dream, and everything that's true, don't give up on the dream, dont' give up on the wanting"
Blind > Please don't drive me blind....on repique avec des sons lancinants, "your eyes forever glued to mine...."
Pierrot the clown > un petit son d'innocence grâce au xylophone et un beat qui bat comme un coeur. C'est mélancolique à souhait, " Leave me leaving bleding on the bed...If you ever come around, the city or the suburbs of this town, you surelly come around I’ll be wallowing in sadness, wearing a frown, like Pierrot the Clown.” Un beau bleu au coeur. Une âme en peine qui se dévole avec pudeur et délicatesse.
Broken promise > Michael Stipe chanteur REM commence la chanson alors que le piano accoustique nous fait une mélancolique mélodie et là les guitares s'enragent et griffent et toute la chanson sera un doux mélange de mélancolie et de coups de rage. "I'll wait my time..."
One of Kind > j'adore la petite gimmic derrière...c'est comment dire faussement léger "I am one ....I am...I am one...I'm in the crowed and I'm alone" c'est comme si la musique disait c'est un constat...."on top of the world you get nothing done"
In the cold of light of morning > ambiance lancinante, petite gimmic en arrière fond comme celle d'un manège dans un rêve. Une valse obscure. “In the cold light of morning, when the party gets boring, you’re high” C'est psychédélique....et on se glisse dans les discértions de l'âme...il fait presque froid quand on écoute cette chanson mais la rythmique de la valse donne une touche de chaud. Et comme dans un rêve trouble on monte on descend sur le petit cheval du manège et on tourne et on virevolte au ralenti dans les vertiges de l'âme.
Song to say goodbye > Pourrait aussi être le single qu'on nous passera à la radio...et là aussi on repique dans du classique Placebo, je préfère ce titre à "Because I want you" bcp de notes mineurs "oh my oh my" Before our innocence was lost you were always one of those blessed lucky sevens, and a voice that made me cry, it's a song to say goodbye"
vala...
Je vous confesse que j'avais peur, très peur ayant lu des critiques très dures sur cet album...mais non il n'en est rien, je ne suis absolument pas déçue, les mélodies sont particulièrement soignées. Me voici projetée dans les méandres des écorchures de l'invisible, une ballade en funambule de l'âme. La voix de Molko toujours aussi envoûtante, ronde, chaleureusement désespérée, hypnotisant mes émotions. Il y a qqch d'obsédant dans cet album et c'est sans difficulté je me laisse conter les tourments et me laisser glisser lentement dans la forêt magiquement douce amer de profundis.
Alors l'album commence avec :
Meds > duo au passage fait avec la chanteuse des Kills, Alison Mosshart. Tout commence avec de la guitare accoustic et la mélodie est dans un premier temps faite que par la voix si unique de Brian Molko ensuite se rajoute les sons électriques et la voix d'Alison murmurant "Baby did you forget to take your meds" ponctuant de volupté torturée certes le titre. Plus on avance dans la chanson et plus on monte en intensité avec la subtilité de savoir ponctuer des espaces de repos de l'âme
Infra-Red > où le retour élctro-électrique, presque mantrique dans le son, "obsédantatellement" délicieux. Le son est noir et les beats bien gras..."I can't see in the dark...Someone call an ambulance, there's gonna be an accident" en effet...j'ai pris un choc de l'anima dans le coeur
Drag > Bon alors... là c'est les sons classiques de Placebo, c'est pas la chanson que je préfère de l'album, elle passe tout à fait et en fait elle permet de respirer un peu comme la chanson est moins chargée émotionnellement. Je dirai que c'est un des titres les plus "pétillant" si je puis dire...
Space Monkey > je le dis tout de suite je l'adore c'est simple ! (berny si tu écoutes cette chanson tu peux me dire si c'est une reprise de Patti smith ? je crois qu'elle avait un titre similaire mais je suis pas experte en patti smith ) Il y a des sons techno, un zeste de piano accoustique et une bonne dose de rock.
Follow the cops back home > la chanson est plus lente que la précédente, une ballade pop glam, toute en douceur, comme si c'était l'aire de repos musicalement mais les paroles le sont moins, "Follow the cops back home and rob their houses”. C'est avec délicatesse que je me glisse comme un chat dans la nuit à pas feutré dans sa ballade. Oui oui je le suivrai pour suivre la police chez eux pour voler leur maison
Post blue > J'adore l'intro obsédante et litanique, "it's in the water baby, it's in your family tree, its between you and me". Tic, tac, le temps s'écoule et je m'enroule dans les sons, drapée de douce douceur et la voix de Brian par moment emitoufflée par le son d'un micro vintage. "I'll brake the back (black?) of love for you".
Because I want you > Et hop on alterne et zou une bonne gimmick et zou...on part dans l'électro-rock si cher à Placebo et j'ouvre ici les paris en disant que c'est celle-ci qu'on va nous passer en boucle sur les ondes. Et c'est avec ce genre de titre qu'on va entendre dire "ah mais ils évoluent pas" merci les gens des radios de tjs choisir la facilité dans les choix de lancement. Donc voici la chanson la plus optimiste de l'album "Don't give up on the dream, and everything that's true, don't give up on the dream, dont' give up on the wanting"
Blind > Please don't drive me blind....on repique avec des sons lancinants, "your eyes forever glued to mine...."
Pierrot the clown > un petit son d'innocence grâce au xylophone et un beat qui bat comme un coeur. C'est mélancolique à souhait, " Leave me leaving bleding on the bed...If you ever come around, the city or the suburbs of this town, you surelly come around I’ll be wallowing in sadness, wearing a frown, like Pierrot the Clown.” Un beau bleu au coeur. Une âme en peine qui se dévole avec pudeur et délicatesse.
Broken promise > Michael Stipe chanteur REM commence la chanson alors que le piano accoustique nous fait une mélancolique mélodie et là les guitares s'enragent et griffent et toute la chanson sera un doux mélange de mélancolie et de coups de rage. "I'll wait my time..."
One of Kind > j'adore la petite gimmic derrière...c'est comment dire faussement léger "I am one ....I am...I am one...I'm in the crowed and I'm alone" c'est comme si la musique disait c'est un constat...."on top of the world you get nothing done"
In the cold of light of morning > ambiance lancinante, petite gimmic en arrière fond comme celle d'un manège dans un rêve. Une valse obscure. “In the cold light of morning, when the party gets boring, you’re high” C'est psychédélique....et on se glisse dans les discértions de l'âme...il fait presque froid quand on écoute cette chanson mais la rythmique de la valse donne une touche de chaud. Et comme dans un rêve trouble on monte on descend sur le petit cheval du manège et on tourne et on virevolte au ralenti dans les vertiges de l'âme.
Song to say goodbye > Pourrait aussi être le single qu'on nous passera à la radio...et là aussi on repique dans du classique Placebo, je préfère ce titre à "Because I want you" bcp de notes mineurs "oh my oh my" Before our innocence was lost you were always one of those blessed lucky sevens, and a voice that made me cry, it's a song to say goodbye"
vala...
Dernière édition par le Ven 20 Jan - 10:22, édité 3 fois