Quoi ! Alphie , tu déconnes...
Evidemment , c'est du second degré. Quoique...
J'ai trouvé sur un blog cette parodie superbement argumentée ( rassurez vous , le type qui l'a faite est un amateur de rock mais c'est drôlement bien fait même si ça part d'un gag...)
Quelques extraits :
Le rock, c'est à l'origine une musique de ploucs blancs, qui pillent les noirs pour se faire du fric. Des ploucs blancs, à l'image d'Elvis (le "Johnny américain") et Jerry Lee Lewis (ce dernier, à 23 ans, s'est tout de même marié avec sa nièce de 13 ans), qui ont permis au rythm'n'blues de se populariser, tout simplement parce que la jeunesse blanche de l'époque ne pouvait s'identifier aux noirs. Bill Haley a été le premier... mais il a très vite été ringardisé par Elvis. Car ce qu'attendait le jeunesse, c'est pas vraiment de la musique, mais surtout une image, une attitude, des poses. Si Elvis avait eu au début des 50's la tronche bouffie de la fin de sa vie, il n'aurait intéressé personne...
La jeunesse blanche américaine se foutait pas mal de la musique des noirs... elle commence à y prêter une oreille plus attentive quand c'est un blanc qui la reprend, et devient carrément hystérique quand, en plus, ce blanc est jeune, beau et sexy. Bref, on ne connait pas de genre musical qui ait débuté de façon aussi grotesque. Mais le pire est à venir...
Certains prétendent que le rock a amené quelque chose de "nouveau", une violence, une tension qu'on ne connaissait pas avant. Foutaises. Ce sont là des discours de fans de rock incultes (pléonasme). ...
La musique classique n'a pas attendu le rock pour aller le plus loin possible dans la violence, l'intensité, la puissance rythmique, la noirceur. Montez le son à fond, et jetez une oreille au Sacre du Printemps de Stravinsky (et oui, on est obligé, sur un blog de rock, de préciser "de Stravinsky" lorsqu'on parle de cette oeuvre majeure, ce qui prouve bien l'inculture crasse du fan de rock moyen, car avec n'importe qui ayant 2 sous de culture on dit simplement "Le Sacre" et tout le monde comprend) :
Je ne me fais pas d'illusions, je me doute bien que la plupart des fanas de rock qui me lisent ne prendront même pas la peine d'écouter les incroyables deux premières minutes de ce passage... ce qui prouve bien que ce qui intéresse le fan de rock, ce n'est même pas l'intensité, la violence, c'est juste deux choses :
1. L'accessibilité, des chansonnettes faciles et simplistes (le fan de rock, c'est comme un fan de varièt', mais en poseur snobinard)
2. L'image et l'identification puérile... "le classique... bah, c'est un truc de vieux, c'est joué et écouté par des vieux, lol"
Petit con... il y a plus de noirceur, de violence, de folie, d'originalité et de puissance dans cet extrait que dans l'intégrale de ton groupe de poseurs favoris....
La figure emblématique, c'est Dylan. Dans un milieu aussi crétin que le rock, facile de passer pour un poète et un type intelligent quand on a un peu plus de vocabulaire que "be-bop-a-lula", "awopbamalula" ou "yeah baby"... Dylan ne sait pas chanter, il n'est pas beau... pas grave, il a un bon sens du business, a compris que la jeunesse des 60's attend un peu plus de profondeur... bon, pas trop non plus, ils n'allaient tout de même pas se mettre à écouter des musiques intelligentes et subtiles, ni lire de la philosophie ou de la poésie... le grand processus d'abrutissement de la jeunesse dans les 50's a déjà fait pas mal de dégâts, alors le médiocre Dylan fera l'affaire.
Intelligence et rock, c'est le grand écart, d'aussi mauvais goût que de mélanger du caviar à un cassoulet industriel. Cela nous vaudra des flopées de rockeurs abrutis persuadés qu'ils ont leur mot à dire sur la marche du monde ; de Bono à Cali. Merci, Bob...
Le rock, c'était déjà un peu mollasson, on n'y trouvait pas la puissance et l'originalité du classique, pas plus que le groove fin et sensuel du jazz ou l'authenticité du blues... avec Dylan, ça devient carrément soporifique. Surtout quand il nous inflige Blonde on Blonde, premier double-album de l'histoire du rock... comme si se taper une chanson de Dylan n'était pas déjà suffisamment chiant. Il fallait vraiment que la jeunesse de l'époque ait abusé d'herbes diverses pour supporter un truc pareil. Des jeunes trop flasques pour changer le disque, qui de toute façon correspondait bien à leur apathie.
Blonde On Blonde + pétard, il n'y a pas d'équivalent pour se ramollir le cerveau.... si ce n'est le premier Velvet + tranxène. ...
Evidemment , c'est du second degré. Quoique...
J'ai trouvé sur un blog cette parodie superbement argumentée ( rassurez vous , le type qui l'a faite est un amateur de rock mais c'est drôlement bien fait même si ça part d'un gag...)
Quelques extraits :
Le rock, c'est à l'origine une musique de ploucs blancs, qui pillent les noirs pour se faire du fric. Des ploucs blancs, à l'image d'Elvis (le "Johnny américain") et Jerry Lee Lewis (ce dernier, à 23 ans, s'est tout de même marié avec sa nièce de 13 ans), qui ont permis au rythm'n'blues de se populariser, tout simplement parce que la jeunesse blanche de l'époque ne pouvait s'identifier aux noirs. Bill Haley a été le premier... mais il a très vite été ringardisé par Elvis. Car ce qu'attendait le jeunesse, c'est pas vraiment de la musique, mais surtout une image, une attitude, des poses. Si Elvis avait eu au début des 50's la tronche bouffie de la fin de sa vie, il n'aurait intéressé personne...
La jeunesse blanche américaine se foutait pas mal de la musique des noirs... elle commence à y prêter une oreille plus attentive quand c'est un blanc qui la reprend, et devient carrément hystérique quand, en plus, ce blanc est jeune, beau et sexy. Bref, on ne connait pas de genre musical qui ait débuté de façon aussi grotesque. Mais le pire est à venir...
Certains prétendent que le rock a amené quelque chose de "nouveau", une violence, une tension qu'on ne connaissait pas avant. Foutaises. Ce sont là des discours de fans de rock incultes (pléonasme). ...
La musique classique n'a pas attendu le rock pour aller le plus loin possible dans la violence, l'intensité, la puissance rythmique, la noirceur. Montez le son à fond, et jetez une oreille au Sacre du Printemps de Stravinsky (et oui, on est obligé, sur un blog de rock, de préciser "de Stravinsky" lorsqu'on parle de cette oeuvre majeure, ce qui prouve bien l'inculture crasse du fan de rock moyen, car avec n'importe qui ayant 2 sous de culture on dit simplement "Le Sacre" et tout le monde comprend) :
Je ne me fais pas d'illusions, je me doute bien que la plupart des fanas de rock qui me lisent ne prendront même pas la peine d'écouter les incroyables deux premières minutes de ce passage... ce qui prouve bien que ce qui intéresse le fan de rock, ce n'est même pas l'intensité, la violence, c'est juste deux choses :
1. L'accessibilité, des chansonnettes faciles et simplistes (le fan de rock, c'est comme un fan de varièt', mais en poseur snobinard)
2. L'image et l'identification puérile... "le classique... bah, c'est un truc de vieux, c'est joué et écouté par des vieux, lol"
Petit con... il y a plus de noirceur, de violence, de folie, d'originalité et de puissance dans cet extrait que dans l'intégrale de ton groupe de poseurs favoris....
La figure emblématique, c'est Dylan. Dans un milieu aussi crétin que le rock, facile de passer pour un poète et un type intelligent quand on a un peu plus de vocabulaire que "be-bop-a-lula", "awopbamalula" ou "yeah baby"... Dylan ne sait pas chanter, il n'est pas beau... pas grave, il a un bon sens du business, a compris que la jeunesse des 60's attend un peu plus de profondeur... bon, pas trop non plus, ils n'allaient tout de même pas se mettre à écouter des musiques intelligentes et subtiles, ni lire de la philosophie ou de la poésie... le grand processus d'abrutissement de la jeunesse dans les 50's a déjà fait pas mal de dégâts, alors le médiocre Dylan fera l'affaire.
Intelligence et rock, c'est le grand écart, d'aussi mauvais goût que de mélanger du caviar à un cassoulet industriel. Cela nous vaudra des flopées de rockeurs abrutis persuadés qu'ils ont leur mot à dire sur la marche du monde ; de Bono à Cali. Merci, Bob...
Le rock, c'était déjà un peu mollasson, on n'y trouvait pas la puissance et l'originalité du classique, pas plus que le groove fin et sensuel du jazz ou l'authenticité du blues... avec Dylan, ça devient carrément soporifique. Surtout quand il nous inflige Blonde on Blonde, premier double-album de l'histoire du rock... comme si se taper une chanson de Dylan n'était pas déjà suffisamment chiant. Il fallait vraiment que la jeunesse de l'époque ait abusé d'herbes diverses pour supporter un truc pareil. Des jeunes trop flasques pour changer le disque, qui de toute façon correspondait bien à leur apathie.
Blonde On Blonde + pétard, il n'y a pas d'équivalent pour se ramollir le cerveau.... si ce n'est le premier Velvet + tranxène. ...