Fin de tournée pour Calogero (20/11/2005)
© PIRARD
Il était vendredi à Forest National pour un de ses derniers concerts
BRUXELLES Vendredi soir, Calogero a commencé par entonner son nouveau tube : C'est un jour parfait, ni bon ni mauvais et si les spectateurs de Forest National avaient passé une mauvaise journée, ils auront, en tout cas, eu une excellente soirée.
Et il a d'emblée annoncé : «Bruxelles, ce soir c'est notre avant, avant-dernière date. Cela fait plus d'un an que nous sommes sur les routes et je peux vous dire que le plaisir est resté intact. Mes copains et moi on n'a qu'une envie, de remettre ça !»
Devant un parterre majoritairement composé de jeunes filles, Calo a alors chanté les meilleures chansons de son dernier album.
Tout était réuni pour que le public ressorte de la salle avec le coeur en fête et des étoiles plein les yeux. Un énorme jeu de lumière accompagnait à merveille les moindres variations de son. Un coeur géant entourait le chanteur d'une aura de bien-être.
Vêtu de son éternelle veste en cuir et toujours accompagné de sa basse, Calogero a prouvé, qu'après quatre représentations à Forest, il avait toujours l'amour du public et l'énergie nécessaire pour une telle soirée.
Lorsqu'il a interprété ses plus grands tubes comme Tien Amen, Si seulement je pouvais lui manquer et En apesanteur, les spectateurs ont alors, eux aussi, donné de la voix. La salle se transformait, lors des chansons rythmées, en une gigantesque piste de danse. Ceux qui avaient décidé de s'asseoir plutôt que d'aller dans la fosse, se rendaient alors sur les escaliers afin de bouger avec la musique.
Pluie de préservatifs
L'apothéose du spectacle restera la chanson qui a donné le ton aux vacances d'été de l'année passée : Face à la mer.
Enfin, juste avant le rappel, Calo a chanté Safe Sex. Pour le chanteur, le combat contre le sida a une place prépondérante dans sa vie. C'est comme ça qu'à la fin de son interprétation, une pluie de préservatifs s'est abattue sur le public. «Pour ceux qui n'en aurait pas eu : ce sont des capotes. Et pensez à moi dans ces moments-là, ça me fera vraiment plaisir», a-t-il lancé dans un éclat de rire.
S. La.
© La Dernière Heure 2005
© PIRARD
Il était vendredi à Forest National pour un de ses derniers concerts
BRUXELLES Vendredi soir, Calogero a commencé par entonner son nouveau tube : C'est un jour parfait, ni bon ni mauvais et si les spectateurs de Forest National avaient passé une mauvaise journée, ils auront, en tout cas, eu une excellente soirée.
Et il a d'emblée annoncé : «Bruxelles, ce soir c'est notre avant, avant-dernière date. Cela fait plus d'un an que nous sommes sur les routes et je peux vous dire que le plaisir est resté intact. Mes copains et moi on n'a qu'une envie, de remettre ça !»
Devant un parterre majoritairement composé de jeunes filles, Calo a alors chanté les meilleures chansons de son dernier album.
Tout était réuni pour que le public ressorte de la salle avec le coeur en fête et des étoiles plein les yeux. Un énorme jeu de lumière accompagnait à merveille les moindres variations de son. Un coeur géant entourait le chanteur d'une aura de bien-être.
Vêtu de son éternelle veste en cuir et toujours accompagné de sa basse, Calogero a prouvé, qu'après quatre représentations à Forest, il avait toujours l'amour du public et l'énergie nécessaire pour une telle soirée.
Lorsqu'il a interprété ses plus grands tubes comme Tien Amen, Si seulement je pouvais lui manquer et En apesanteur, les spectateurs ont alors, eux aussi, donné de la voix. La salle se transformait, lors des chansons rythmées, en une gigantesque piste de danse. Ceux qui avaient décidé de s'asseoir plutôt que d'aller dans la fosse, se rendaient alors sur les escaliers afin de bouger avec la musique.
Pluie de préservatifs
L'apothéose du spectacle restera la chanson qui a donné le ton aux vacances d'été de l'année passée : Face à la mer.
Enfin, juste avant le rappel, Calo a chanté Safe Sex. Pour le chanteur, le combat contre le sida a une place prépondérante dans sa vie. C'est comme ça qu'à la fin de son interprétation, une pluie de préservatifs s'est abattue sur le public. «Pour ceux qui n'en aurait pas eu : ce sont des capotes. Et pensez à moi dans ces moments-là, ça me fera vraiment plaisir», a-t-il lancé dans un éclat de rire.
S. La.
© La Dernière Heure 2005