J’ai plein de défauts, genre je n’écoute pas France Inter pour me réveiller, je n’enrichie pas ma culture musicale en allumant FIP à peine rentré, ou bien je ne lis pas le Monde de la Musique…
Avec mes conneries de paresse intellectuelle, j’ai bien failli passer à côté d’Anis.
Oh, pas longtemps à priori, car nul doute que le bonhomme remplisse de plus en plus vite des salles de plus en plus grandes, et qu’on le retrouve nommé aux victoires de la musique 2007 en artiste révélation en révélation concert ou en meilleur album… On parie ?
Bon, là globalement je suis content parce que malgré tous les obstacles que je me mets, j’ai quand même pu découvrir cet album et ce bonhomme, et vous le faire découvrir avant qu’il n’explose…
J’aime bien être aidé quand je fais mes courses, pour le poulet je cherche du label rouge, si je veux acheter du bio, je cherche le sigle AB, si je veux du vin, je regarde qu’il soit bien AOC (entre autres) ; bref, j’aime bien quand je trouve un sigle réellement qualitatif, et pouvoir m’y référer…
Depuis un mois la nouvelle galette d’Olivia Ruiz se voit honorée d’un sticker « le choc : Monde de la Musique » Moi choueeeeeette mais euuuh, c’est quoi le Monde de la Musique ? bon, j’ai trouvé le magazine, j’ai feuilleté vite fait et je l’ai rerangé parce que je ne comprenais rien à ce qu’ils racontaient dedans.
Mais quelque part ça m’a rassuré…
Depuis la semaine dernière, la moitié de la pochette et masquée par un : « nommé meilleur album victoires de la musique 2006 dans deux mois on n’arrivera plus à voir qu’il s’agit de l’album d’Olivia… ;o)
Mais ne nous éloignons pas du sujet initial…
J’aime errer dans les grandes surfaces, à la découverte de petits bonheurs musicaux…
Le midi, quand je suis abruti par l’ordinateur, le matin quand je suis abruti par le manque de sommeil, le soir quand je suis abruti par les vapeurs d’alcool, la journée, quand je suis abruti tout court…
La dernière fois, c’était Lio, une jolie découverte, qui fit toujours du bien à mes oreilles, et là, depuis plus d’un mois, rien…
Dur…
Pourtant, Lynda lemay, j’ai acheté avant tout le monde, Bénabar aussi, bien avant l’explosion, Olivia, Ruiz, j’étais sur le coup… céline dion aussi mais là je ne m’en vante pas… amélie les crayons, j’ééétais là, ridan, j’ééétais là… enfin, moi j’étais là mais eux je ne sais plus trop où ils sont… ;o)
Alors voilà, lui, c’est Anis…
Anis, les gens, les gens, Anis, Enchantés, lui de même…
Mais moi d’abord !
Pour recoller tous les p’tits bouts de phrases depuis le début de ce post, je dois dire, qu’en fait, j’étais vendredi dernier à la Défense, bien claqué de n’avoir rien fait de ma matinée, encravatté quand même, bien callé par un sandwich poulet, et surtout décidé à dépenser des sous pour compenser je ne sais pas quoi…
Alors je me ballade et ne me fais pas trop de mal aux oreilles en fuyant le rayon de Myriam Abel (ouf ouf ouf, je l’ai évité..) je recherche le dvd de Florence Forresti, dont j’ai vu le spectacle deux fois pour de vrai, dont une fois au Point Virgule (viiiiii ça aussi c’était avant qu’elle ne soit connue, comment chuis trop fort moi !!!), je recherche aussi ceux de Queer as folk, la seule série américaine que je prenne du plaisir à suivre et qui accompagnera les dimanches après midi quand j’arriverai à mettre la main sur ce putain de dvd). Ni l’un ni l’autre mais je me rends compte que Charlie et la chocolaterie, et plus particulièrement un reportage sur les petits écureuils qui rongent les noisettes dans le dvd bonus me conviendront très bien pour faire passer quelques dimanches…
Puis je me souviens du nom de robert post, cherche, écoute, adhère, achète l’album…
Et c’est là que….
Tadaaaaam…
Je la vois !!
La p’tite étiquette….
(arf, l’est midi 18 ; l’heure du remplissage de ventre !!)
Avec mes conneries de paresse intellectuelle, j’ai bien failli passer à côté d’Anis.
Oh, pas longtemps à priori, car nul doute que le bonhomme remplisse de plus en plus vite des salles de plus en plus grandes, et qu’on le retrouve nommé aux victoires de la musique 2007 en artiste révélation en révélation concert ou en meilleur album… On parie ?
Bon, là globalement je suis content parce que malgré tous les obstacles que je me mets, j’ai quand même pu découvrir cet album et ce bonhomme, et vous le faire découvrir avant qu’il n’explose…
J’aime bien être aidé quand je fais mes courses, pour le poulet je cherche du label rouge, si je veux acheter du bio, je cherche le sigle AB, si je veux du vin, je regarde qu’il soit bien AOC (entre autres) ; bref, j’aime bien quand je trouve un sigle réellement qualitatif, et pouvoir m’y référer…
Depuis un mois la nouvelle galette d’Olivia Ruiz se voit honorée d’un sticker « le choc : Monde de la Musique » Moi choueeeeeette mais euuuh, c’est quoi le Monde de la Musique ? bon, j’ai trouvé le magazine, j’ai feuilleté vite fait et je l’ai rerangé parce que je ne comprenais rien à ce qu’ils racontaient dedans.
Mais quelque part ça m’a rassuré…
Depuis la semaine dernière, la moitié de la pochette et masquée par un : « nommé meilleur album victoires de la musique 2006 dans deux mois on n’arrivera plus à voir qu’il s’agit de l’album d’Olivia… ;o)
Mais ne nous éloignons pas du sujet initial…
J’aime errer dans les grandes surfaces, à la découverte de petits bonheurs musicaux…
Le midi, quand je suis abruti par l’ordinateur, le matin quand je suis abruti par le manque de sommeil, le soir quand je suis abruti par les vapeurs d’alcool, la journée, quand je suis abruti tout court…
La dernière fois, c’était Lio, une jolie découverte, qui fit toujours du bien à mes oreilles, et là, depuis plus d’un mois, rien…
Dur…
Pourtant, Lynda lemay, j’ai acheté avant tout le monde, Bénabar aussi, bien avant l’explosion, Olivia, Ruiz, j’étais sur le coup… céline dion aussi mais là je ne m’en vante pas… amélie les crayons, j’ééétais là, ridan, j’ééétais là… enfin, moi j’étais là mais eux je ne sais plus trop où ils sont… ;o)
Alors voilà, lui, c’est Anis…
Anis, les gens, les gens, Anis, Enchantés, lui de même…
Mais moi d’abord !
Pour recoller tous les p’tits bouts de phrases depuis le début de ce post, je dois dire, qu’en fait, j’étais vendredi dernier à la Défense, bien claqué de n’avoir rien fait de ma matinée, encravatté quand même, bien callé par un sandwich poulet, et surtout décidé à dépenser des sous pour compenser je ne sais pas quoi…
Alors je me ballade et ne me fais pas trop de mal aux oreilles en fuyant le rayon de Myriam Abel (ouf ouf ouf, je l’ai évité..) je recherche le dvd de Florence Forresti, dont j’ai vu le spectacle deux fois pour de vrai, dont une fois au Point Virgule (viiiiii ça aussi c’était avant qu’elle ne soit connue, comment chuis trop fort moi !!!), je recherche aussi ceux de Queer as folk, la seule série américaine que je prenne du plaisir à suivre et qui accompagnera les dimanches après midi quand j’arriverai à mettre la main sur ce putain de dvd). Ni l’un ni l’autre mais je me rends compte que Charlie et la chocolaterie, et plus particulièrement un reportage sur les petits écureuils qui rongent les noisettes dans le dvd bonus me conviendront très bien pour faire passer quelques dimanches…
Puis je me souviens du nom de robert post, cherche, écoute, adhère, achète l’album…
Et c’est là que….
Tadaaaaam…
Je la vois !!
La p’tite étiquette….
(arf, l’est midi 18 ; l’heure du remplissage de ventre !!)