Ce matin, tout embrûmé par ma première nuit de semi sommeil de 2006, obligé d'être éveillé à 9.00 pour cause de résolution de nouvelle année et de rythme à reprendre, je me suis retrouvé à érrer sur les champs Elysées aux alentours de 10.00, et ai ainsi eu la joie de faire l'ouverture du Virgin Mégastore.
Les lendemains de fêtes accompagnés des petits yeux d'usage, les bonjours entre vendeurs qui mettent en place les nouveautés, les premiers clients impatients, tout ça crée une athmosphère propice à déclenclencher mon bouton "rêveur on"
alors, en passant vers le rayon variété française, où toutes les bornes d'écoutes sont disponibles, je m'arrête au hasard des pochettes. La première me fait mal aux oreilles, je zappe et je passe mon tour. Myriam Abel nous sort un album tout formaté NRJ alors forcément, niveau agressivité, ils savent y faire. mais moi pas d'hmeur à me faire agresser.. et puis,n ne jouons pas avec les mots, c'est mauvais, tout simplement...
alors, je passe, je continue, et je laisse mes yeux se poser sur une pochette tout douce, un bleu qui fait référence au ciel, avec un visage tout flou au premier rang, qui crache un peu de fumée, comme pour faire un nuage... C'est tout doux, et puis c'est Lio en plus. Lio j'aime bien le personnage et ses reprises de Prévert ont été une jolie surprise. alors, je pose le casque sur mes oreilles et je laisse les premières notes imprégner mon petit cerveau...
qu'est ce que ça peut faire comme bien des chansons toutes simples, bien écrites, avec une jolie mélodie, accoustiques, sans débordement. Tout de suite on comprend que cet album est celui d'une femme qui parle d'elle sans conscession.
Alors, ça commence comme ça:
"pour retrouver qui j'étais,
avant de t'aimer,
je voudrais bien tomber sur moi
Comme on recroise
un vieil ami" (vieil ami)
elle parle des hommes de ses hommes, beaucoup, avec poésie.
"les hommes sont mon chagrin
et c'est ma plus belle parure
ils sont forts et sereins" (les hommes me vont si bien)
ou bien
"non, je n'attendrai plus jamais
ce blondinet aux yeux délavés
qui m'avait promis la grande vie
dans les palais
ce soir je m'en vais" (dites au prince charmant)
avec ça elle parle direct au julien qui révasse au virgin un lundi deux janvier:
"tu as le même sourire
que tu regardes tomber la pluie
que tu te prélasses au soleil
tu as le même sourire
quand je dis que t'es un mystère pour moi
ou quand je dis que je t'aime" (le même sourire)
dans cette album, lio, veut de l'amourr, tout plein, elle incruste paris dans ses histoires, et s'incruste sur les photos des touristes. elle parle beaucoup du temps
"tu es un hall de gare
et moi
je suis un banc
c'est toujours la même histoire
pareille, à chaque amant
et je fume et refume
pour cracher en fumée
toutes mes amertumes
et mes vieilles journées
et le temps mon amant
n'a pas choisi son camp
et tant pis mon ami, quant à moi je fous le camp" (hall de gare)
et ceci "j'n'ai jamais eu l'age de raison, j'ai toujours eu l'âge des saisons, après la pluie vient le beau temps, c'est pourquoi, j'attend" (l'âge des saisons)
attends ou va-t-en, reprise de france gall écrite par gainsbourg finit d'emporter mon suffrage.
je découvre au chaud chez moi que Lio doit ce retour à héléna Nogéra sa petite soeur et à Doriand, qui signe la plupart des textes.
une femme qui joue de sa légèreté pour masquer ses faiblesses, et qui met tout cela en musique
je découvre aussi chez moi que l'album est édité aux production "Oz 2005"
c'est pas l'album le plus oz que j'ai entendu mais c'est en tout cas un album complètement Julien...
Les lendemains de fêtes accompagnés des petits yeux d'usage, les bonjours entre vendeurs qui mettent en place les nouveautés, les premiers clients impatients, tout ça crée une athmosphère propice à déclenclencher mon bouton "rêveur on"
alors, en passant vers le rayon variété française, où toutes les bornes d'écoutes sont disponibles, je m'arrête au hasard des pochettes. La première me fait mal aux oreilles, je zappe et je passe mon tour. Myriam Abel nous sort un album tout formaté NRJ alors forcément, niveau agressivité, ils savent y faire. mais moi pas d'hmeur à me faire agresser.. et puis,n ne jouons pas avec les mots, c'est mauvais, tout simplement...
alors, je passe, je continue, et je laisse mes yeux se poser sur une pochette tout douce, un bleu qui fait référence au ciel, avec un visage tout flou au premier rang, qui crache un peu de fumée, comme pour faire un nuage... C'est tout doux, et puis c'est Lio en plus. Lio j'aime bien le personnage et ses reprises de Prévert ont été une jolie surprise. alors, je pose le casque sur mes oreilles et je laisse les premières notes imprégner mon petit cerveau...
qu'est ce que ça peut faire comme bien des chansons toutes simples, bien écrites, avec une jolie mélodie, accoustiques, sans débordement. Tout de suite on comprend que cet album est celui d'une femme qui parle d'elle sans conscession.
Alors, ça commence comme ça:
"pour retrouver qui j'étais,
avant de t'aimer,
je voudrais bien tomber sur moi
Comme on recroise
un vieil ami" (vieil ami)
elle parle des hommes de ses hommes, beaucoup, avec poésie.
"les hommes sont mon chagrin
et c'est ma plus belle parure
ils sont forts et sereins" (les hommes me vont si bien)
ou bien
"non, je n'attendrai plus jamais
ce blondinet aux yeux délavés
qui m'avait promis la grande vie
dans les palais
ce soir je m'en vais" (dites au prince charmant)
avec ça elle parle direct au julien qui révasse au virgin un lundi deux janvier:
"tu as le même sourire
que tu regardes tomber la pluie
que tu te prélasses au soleil
tu as le même sourire
quand je dis que t'es un mystère pour moi
ou quand je dis que je t'aime" (le même sourire)
dans cette album, lio, veut de l'amourr, tout plein, elle incruste paris dans ses histoires, et s'incruste sur les photos des touristes. elle parle beaucoup du temps
"tu es un hall de gare
et moi
je suis un banc
c'est toujours la même histoire
pareille, à chaque amant
et je fume et refume
pour cracher en fumée
toutes mes amertumes
et mes vieilles journées
et le temps mon amant
n'a pas choisi son camp
et tant pis mon ami, quant à moi je fous le camp" (hall de gare)
et ceci "j'n'ai jamais eu l'age de raison, j'ai toujours eu l'âge des saisons, après la pluie vient le beau temps, c'est pourquoi, j'attend" (l'âge des saisons)
attends ou va-t-en, reprise de france gall écrite par gainsbourg finit d'emporter mon suffrage.
je découvre au chaud chez moi que Lio doit ce retour à héléna Nogéra sa petite soeur et à Doriand, qui signe la plupart des textes.
une femme qui joue de sa légèreté pour masquer ses faiblesses, et qui met tout cela en musique
je découvre aussi chez moi que l'album est édité aux production "Oz 2005"
c'est pas l'album le plus oz que j'ai entendu mais c'est en tout cas un album complètement Julien...
Dernière édition par le Lun 2 Jan - 23:40, édité 1 fois