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Gnarls Barkley

3 participants

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1Gnarls Barkley Empty Gnarls Barkley Jeu 1 Juin - 5:56

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PORTRAIT - Suites princières

Gnarls Barkley Gnarls
Cee-Lo Green et DangerMouse, duo surdoué du mystérieux groupe Gnarls Barkley.

Le roi Prince déçoit, mais ses dauphins raniment la ferveur soul. Avec la même diablerie.
Poussée de fièvre, cet hiver, sur le front de la musique noire américaine. Prince, mauvais génie de Minneapolis, qui se griffait la peau d’un spectaculaire « Esclave ! » pour mettre en scène sa brouille avec l’industrie du disque, accepte de signer un nouveau contrat. Et pas n’importe lequel. Il rejoint Motown, le saint des saints de la soul, le label qui lança Marvin Gaye, Stevie Wonder, Smokey Robinson, les Jacksons, Diana Ross... On en frémit d’avance. L’union de deux symboles adulés, la fusion d’époques électriques et bouleversantes, la promesse de nouveaux émois sur un lit de braises encore chaudes.

Tout ça ne dure que le temps d’y penser : l’album de Prince n’offre aucune raison de s’affoler. Deux, trois morceaux funk bien troussés, des chansons calibrées, une folie en berne… Motown, qui tente depuis des décennies de redevenir « LE son de l’Amérique noire », court toujours après sa réputation. Et le grand frisson qui parcourait la musique américaine quand Prince était un Roi-Soleil aux inspirations kaléidoscopiques, d’autres le font passer à sa place.

La coïncidence est troublante : à l’heure même où sort l’album sur Motown, c’est la chanson d’héritiers flamboyants qui se propage à la vitesse de l’éclair, un tube magnifique, simplement baptisé Crazy, précipité soul et pop, noir et blanc, à la manière du princier When doves cry. Trois minutes d’un autre temps, parcourues de sons futuristes et d’échos troublants du passé, une voix aux accents dramatiques qui se perche haut, du côté d’Al Green et de Marvin Gaye, des paroles qui touchent au cœur d’un trouble existentiel où tout se confond et devient contagieux, l’amour comme la folie, la peur de l’échec comme les rêves de grandeur. Crazy est une grande chanson qui se double d’un joli mystère. On sait qu’elle s’est propulsée, via Internet, au sommet des hit-parades en Angleterre, on ne sait pas d’où elle vient.

Le mystère, justement, c’est la grande affaire de Prince depuis une éternité, les masques et les identités troublées, les paroles ésotériques, les signes cabalistiques... Il se prête encore au jeu pour faire monter un semblant de pression, diffuse les fausses pistes et les indices trompeurs sur Internet, pose de dos sur une pochette baignée d’ombre, arborant, à même le blouson, un chiffre – 3121 –, comme une promesse cryptée.

Mais là aussi, le voici pris de vitesse. Une seule énigme nous occupe à la sortie de l’hiver : qui se cache derrière Crazy ? Qui est ce Gnarls Barkley dont personne n’a jamais entendu parler ? Sur le Web, on cite une lettre de lui, adressée au critique rock Lester Bangs, disparu depuis longtemps (« Tu es le meilleur. Tu es le pire. Tu es moyen... »). Il serait d’une autre époque, alors ? « Un complice d’écriture d’Isaac Hayes ou l’hôte secret des réunions clandestines du fameux gang rap Wu-Tang Clan » ? Les devinettes ont du charme. Le nom de Gnarls Barkley et ses petites légendes circulent, pendant des semaines, dans les chambres virtuelles de myspace.com.

Mais on ne fera pas l’injure à ces petits malins d’avancer qu’ils doivent leur triomphe à autre chose qu’à leur musique. Sur l’élan de Crazy, un album de Gnarls Barkley paraîtra dans les premiers jours de mai et c’est un petit chef-d’œuvre à ranger au côté des récents albums d’Outkast, de Common ou de Kanye West, une preuve de plus que la musique noire américaine est un incroyable vivier où tout semble toujours à réinventer.

L’album porte un nom intrigant (St Elsewhere) et s’ouvre dans un mouvement de pure jubilation sur une ambiance de salle obscure, le son d’un projecteur, les accents d’une fanfare folle, des vertiges de manège emballé comme dans une transe hitchcockienne et le chanteur comme un prédicateur exalté délivrant son message d’amour euphorique : « I’m free. » Du premier au dernier des quatorze morceaux souffle un vent de liberté et d’allégresse, les sautes de rythme épousent les changements de cap, le swing électronique se double d’une fibre blues, les envolées psychédéliques, d’une ferveur soul, la tension dramatique s’accompagne d’un humour grinçant. Les musiciens de Gnarls Barkley, qui ne manquent pas d’air, font écrire sur leur site officiel qu’on n’a pas vu ce genre « de courage dément depuis les jeunes années de Prince ». C’est presque vrai.

L’histoire devient passionnante quand on découvre, à la lumière du succès récent, que Gnarls Barkley est le nom de code d’un projet unique, l’union furtive de deux talents qui trouvent là plus de force qu’ils n’en ont jamais eu. Aux manettes, DangerMouse, une des « griffes » du moment, l’alchimiste sonore qui s’est fait connaître avec un projet un peu fou, l’hybridation de « l’album blanc » des Beatles et de « l’album noir » du rappeur Jay-Z. Cet ébouriffant montage, « l’album gris », fut interdit par la maison de disques des Beatles, mais la réputation était en marche. DangerMouse est, aujourd’hui, le sorcier sonore qui mène à la baguette Gorillaz, groupe virtuel le plus populaire du monde.

Son acolyte est un Noir du Sud tout en rondeurs, un certain Cee-Lo Green, qui donne à la saga Gnarls Barkley toute sa densité. Pour beaucoup, Cee-Lo est l’artiste le plus sous-estimé de la musique noire américaine. Il a enregistré quelques perles avec son groupe rap d’Atlanta, Goodie Mob, d’autres sous son propre nom. Des Neptunes à Ludacris, toute la scène black en vogue s’est invitée à ses côtés pour l’aider à récolter le succès qu’il mérite. En pure perte. Au sein du collectif hip-hop Dungeon Family, grande famille frondeuse d’Atlanta, Cee-Lo vivait dans l’ombre de son excentrique complice, Andre 3000, leader d’Outkast. Aujourd’hui, tous deux se retrouvent au firmament. Et comme Outkast publiera bientôt un film et un album très attendus, 2006 devrait être une de ces grandes années où la musique noire s’affranchit des recettes du business pour assumer entièrement l’héritage des libres-penseurs à la Prince (ou Sly Stone, Jimi Hendrix, Curtis Mayfield, Marvin Gaye…), retrouver le goût du risque et de l’excentricité, de la provocation et du délire, du mélange et de la perversion des genres.

Les chansons de Gnarls Barkley sont des confessions tourmentées où les sentiments se côtoient dans la plus grande confusion, les bouffées d’espoir, les fièvres mystiques et le ressassement tragique (« J’ai tout essayé sauf le suicide/Mais ça m’a traversé l’esprit/Juste une idée »). Fils de pasteur perturbé comme Marvin Gaye, ex-mauvais garçon sauvé par la musique (comme beaucoup), Cee-Lo est un parolier de talent qui invente, sur le vif, un genre de « psycho-soul » où affleurent tous les troubles de la jeunesse noire d’aujourd’hui. Ce qu’il chante avec une ardeur empruntée au gospel, son influence première, c’est la fêlure d’une communauté noire qui n’a jamais été aussi égarée, divisée, désespérée et, paradoxalement, dynamique, euphorique, radicale et engagée : « Je veux répandre l’optimisme et la foi par le biais de la musique, dit-il dans Dirty South, un ouvrage consacré à la scène du Sud.

Je crois vraiment qu’il y a un génocide industriel : une société capitaliste doit s’engraisser sur le dos de quelqu’un et on perpétue notre ignorance. Alors je veux me battre, chanter, danser ou mourir pour le changement ou l’élévation spirituelle. » Musicalement ou politiquement, il s’avance sur des terres peu fréquentées ces temps-ci : « Je peux aller jusqu’à dire que je suis un révolutionnaire ! »

Gnarls Barkley Cover
St Elsewhere, de Gnarls Barkley,
1 CD Warner, ffff (ffff, c'est la côte maximum du journal)
3121, de Prince, 1 CD Motown/Universal, ff.

Laurent Rigoulet - Télérama.fr

2Gnarls Barkley Empty Re: Gnarls Barkley Jeu 1 Juin - 6:16

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St. Elsewhere
Cee Lo + Danger Mouse


Gnarls Barkley Gnarls-barkley-lg

Note du rédacteur : 17/20

Cette nuit j'ai fait un drôle de rêve, genre 'Alice aux Pays des Merveilles' version troisième millénaire revu par les frères Wachowski. Un bruit sourd, comme un faible grésillement d'enceintes en train de respirer me réveilla en pleine nuit. Mon corps se sentait lourd et mon regard flou attiré par une lumière. L'affichage turquoise de la façade de ma chaîne hi-fi me regardait et éclairait faiblement l'obscurité de ma chambre, puis celle-ci ouvrit sa bouche de plastique aux lèvres en aluminium pour avaler le CD de Gnarls Barkley qui était sur mon bureau. Le ciel de la pièce entra en raisonnance avec la chaîne stéréo, et un orage magnétique se mit à gronder, une brume épaisse et sombre tourbillonnant au dessus de ma chambre. Après un flash violent, puis plus rien, je crus entendre quelquechose bouger dans mon placard, le « Boogie Monster » était là, en train de faire coulisser la porte. Puis son ombre patibulaire finit par en sortir, éclairant la pièce avec une boule de lumière dans sa main, et la lança contre le mur qui s'effaça telle une pellicule en train de s'enflammer.

Changement de décor instantané, je croyais reconnaître un quartier de Londres bien kitsch peint à l'encre de chine, envahi par le phénomène « Crazy » qui touche une population anglaise qui a soif d'excentricité. Le temps de trouver mes repères en noir et blanc, je lisais le panneau devant mon nez: « St Elsewhere ». J'aperçûs de dos la personne corpulente, qui s'était introduite pendant mon sommeil, quelques dizaines de mètre plus loin, et je courus comme un dingue le suivre, moi-même poursuivi par l'air de violon de « Crazy ». Le liquide noir dessinait les batîments, les voitures et taxis londoniens, les rues, au fur et à mesure que le bonhomme évoluait. Jusqu'à ce qu'il entre dans un pub, ou une sorte de café théâtre plutôt. Je franchis la porte d'entrée, et les couleurs me raviva la vue, un peu beaucoup d'ailleurs puisque j'étais dans un dessin animé. Dans une ambiance so british, je remarquai en premier lieu sur la scène, un homme au masque de métal qui slammait et n'était qu'autre que MF Doom récitant son couplet de « Benzie Box »; Un gaillard assis les bras croisés devant la scène bougeait la tête, un joueur de basketball qui portait le maillot Charles Barkley. Dans le rôle des piliers de comptoir: Damon Albarn et sa clique des Gorillaz (en cartoon bien sûr), servis par un souriant Jazze Pha en plein happy hour. Sur les murs, j'ai remarqué des disques en vyniles des Beatles à Jay-Z en passant par les Goodie Mob et la Dungeon Family. Quant soudain un très long bras en métal me passa quelques centimètres devant moi et pris un verre de lait depuis une table sur ma droite: c'était un homme un peu maladroit en imperméable, l'inspecteur Gadget, à ma plus grande hallucination. C'était carrément irréel mais fort sympathique, et quel choc quand je me suis aperçu que j'étais en personnage South Park.

Un drôle de serveur s'approchait de moi, c'était ce clown de Cee Lo habillé en bouffon, avec une petite souris portant un T Shirt 'Danger' et une perruque crôlée qui se tenait aggrippée sur son épaule. Il s'asseya sur la chaise en face de moi, intrigué et impressionné, et m'expliqua d'abord la présence du détective desarticulé: il m'a dit, en anglais évidemment, que sa liberté de mouvement l'a inspiré pour une chanson de gospel (« Go-Go Gadget Gospel »). Ensuite, sa tête grimagée dévisagea ma caricature en me demandant qui j'étais pour m'être introduit dans sa Soul Machine, à « St Elsewhere ». Je ne savais quoi lui répondre, à part que j'aimais beaucoup sa créativité et l'inventivité de Danger Mouse. Visiblement cela le faisait sourire, et s'est mis à philosopher sur la vie et sur le pourquoi du comment. Plus sérieusement, il m'a averti qu'il était le « Transformer » et régissait les lois de son propre esprit et qu'il n'avait pas fixé de limites. Et alors que je l'écoutais parler, sa voix et le temps se sont mis à s'accélérer sans me rendre compte que le café dans lequel je me trouvais a fait place à des circuits électroniques. Cee Lo se leva, et la chaise sur laquelle j'étais assise me retenait. Notre artiste m'injecta un drôle de produit avec une piqûre qui ressemblait à un distribiteur de bonbons Pez, dont la graduation ressemblait à une barre de téléchargement. Arrivé à 100%, je me suis retrouvé aspiré dans des boyaux de circuits électroniques. Le voyage ne faisait que commencer.

Pendant le chargement, toujours assis, une musique d'attente (« Online ») me faisait patienter. Cette fois, quand le transfert fut terminé, deux portes s'alignèrent, dont une avec un sens interdit. L'autre ressemblait à une carte Joker: ce fut celle-ci que je choisîs de passer. Nouveau choc encore pour mes yeux et oreilles : ça tenait plus du jeu vidéo comme les Sims que du film d'animation. Je me retrouvais dans une usine à smileys, avec des tas de petits bonshommes heureux de travailler à la chaîne. Des parlophones chantaient « Smiley Faces » sur un rythme entraînant, motivant tout ce petit monde à s'affairer à leurs tâches respectives. Une porte avec une tête de souris masquée comme celle de la pochette de Dangerdoom semblait indiquer la sortie de cette manufacture, d'après mon intuition. A peine franchie que je me retrouvais en face d'une ville futuriste aux formes arrondies dans un style japonais '80s revival', d'après ma vision pixellisée. Fasciné par cet univers étrange, je marchais seul asking myself lots of questions about me, but « Who Cares? » It doesn't matter. Au détour d'un regard ahuri, je suivis instinctivement une jeune demoiselle aux formes généreuses sur un air pop/rock électro (« Gone Daddy Gone »). Et la faim se fit soudainement sentir, et une drôle d'envie de manger des sushis. Comme par hasard entre deux buildings au design avant-gardiste, se tenait un restaurant japonais « The Feng Shui ». Ma vision était devenue celle d'un manga, retour au N&B. Tiens, revoilà Cee Lo dans un kimono noir assis sur le parquet devant une table basse déclamant quelques versets. Dans un coin de la pièce, Danger Mouse essayait maladroitement de manger du riz avec des baquettes. Mais après soixante secondes de rap, Cee Lo m'affronta du regard et m'invita à m'assoir face à lui venir boire le liquide dans le bol qui se trouvait sous mon nez. Mais rien qu'en plongeant ma tête dedans, j'ai basculé dans un nouvel univers encore. Décidément, ce rêve n'a ni queue ni tête.

Désert méxicain, rocheux et poussiéreux. Sous un sombrero, Danger Mouse jouait de la guitare sèche tranquillement, sans trop se soucier de Cee Lo qui se situait au bout du canyon au loin, la tête baissée en train de se parler tout seul (« Just A Thought »). Voulant l'empêcher de tomber dans le précipice, je tentais de m'approcher de lui mais à chaque fois que son chant plaintif arrivait à mes oreilles, un beat à la DJ Shadow provoquait un tremblement de terre et me faisait perdre l'équilibre. Tombant sur mes genoux une Nième fois, le sol se fissura et le monde s'écroula sous mes jambes, et je me suis mis à tomber dans une longue chute vertigineuse, dans le vide noir absolu. Là je pensais en avoir fini, entendant une voix me disant de me lever. Et je me suis levé, cloisonné dans un cercueil ouvert à l'air libre. Debout, la tête au niveau du sol, je cherchais à me dépétrer en m'accrochant à la terre quand une main se tendit vers moi. Je relevais la tête et vit un spectre sous une capuche, un « Necromancer ». Je sais tout de même la main sans trop réfléchir et me suis retrouvé dans un cimetière bien glauque et extravagant digne d'un film de Tim Burton. Je reconnûs encore Cee Lo à travers sa silhouette imposante. Il n'y avait pas de nom sur la pierre tombale en dessous de laquelle j'étais allongé, mais les autres tombes portaient le nom de ses victimes féminines et des autres démons qui le hantent. Il me raccompagna jusqu'aux grilles de l'entrée du cimetière, qui donnait sur une longue autoroute sans fin. Sans trop comprendre pourquoi, paniqué, je me mîs à courir le long, pris en chasse par un cyclone « The Storm Coming », le même que celui qui s'est dessiné dans ma chambre. Les mouvements du vent m'attirait vers son oeil, jusqu'à ce qu'il m'aspire dans les air. Et là, « The Last Time », générique de fin du film.

Je me réveillai en sursaut et repris doucement mes esprits, respirait un peu. J'étais bien rassuré de me retrouver dans ma piaule, un peu angoissé dans le noir, d'autant plus que ma chaine hi-fi était restée allumée. Cela m'apprendra à écouter en boucle le même disque toute une journée. Unique en son genre. C'est plus que du hip hop, c'est génial.

-Sagittarius-, rap2k.com

3Gnarls Barkley Empty Re: Gnarls Barkley Jeu 1 Juin - 9:16

brodie

brodie
MAry Poppins Frappadingue
MAry Poppins Frappadingue

ben à lire tout çà, çà motive pour aller voir çà de près.
Encore merci

http://fafofil.canalblog.com

4Gnarls Barkley Empty Re: Gnarls Barkley Jeu 1 Juin - 9:56

B.A.D

B.A.D
PsychOZ
PsychOZ

Merci Jetset ! Je penserai à écouter ces titres quand j'irai au magasin Wink

5Gnarls Barkley Empty Re: Gnarls Barkley Jeu 15 Juin - 15:06

brodie

brodie
MAry Poppins Frappadingue
MAry Poppins Frappadingue

ayéééé j'ai écouté des extraits (merci itunes).... j'ai bien aimé. Je sens qu'il va rejoindre my wishlist cet album.

Merci Jetset

http://fafofil.canalblog.com

6Gnarls Barkley Empty Re: Gnarls Barkley Dim 2 Juil - 13:21

brodie

brodie
MAry Poppins Frappadingue
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wishlist excaucée Wink

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