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Le rock c'est de la merde

+2
kermit__
alphie712
6 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1Le rock c'est de la merde Empty Le rock c'est de la merde Sam 6 Sep - 3:42

alphie712

alphie712
Black Sabbath Talent Aiguille

Quoi ! Alphie , tu déconnes...

Evidemment , c'est du second degré. Quoique...
J'ai trouvé sur un blog cette parodie superbement argumentée ( rassurez vous , le type qui l'a faite est un amateur de rock mais c'est drôlement bien fait même si ça part d'un gag...)

Quelques extraits :

Le rock, c'est à l'origine une musique de ploucs blancs, qui pillent les noirs pour se faire du fric. Des ploucs blancs, à l'image d'Elvis (le "Johnny américain") et Jerry Lee Lewis (ce dernier, à 23 ans, s'est tout de même marié avec sa nièce de 13 ans), qui ont permis au rythm'n'blues de se populariser, tout simplement parce que la jeunesse blanche de l'époque ne pouvait s'identifier aux noirs. Bill Haley a été le premier... mais il a très vite été ringardisé par Elvis. Car ce qu'attendait le jeunesse, c'est pas vraiment de la musique, mais surtout une image, une attitude, des poses. Si Elvis avait eu au début des 50's la tronche bouffie de la fin de sa vie, il n'aurait intéressé personne...
La jeunesse blanche américaine se foutait pas mal de la musique des noirs... elle commence à y prêter une oreille plus attentive quand c'est un blanc qui la reprend, et devient carrément hystérique quand, en plus, ce blanc est jeune, beau et sexy. Bref, on ne connait pas de genre musical qui ait débuté de façon aussi grotesque. Mais le pire est à venir...

Certains prétendent que le rock a amené quelque chose de "nouveau", une violence, une tension qu'on ne connaissait pas avant. Foutaises. Ce sont là des discours de fans de rock incultes (pléonasme). ...


La musique classique n'a pas attendu le rock pour aller le plus loin possible dans la violence, l'intensité, la puissance rythmique, la noirceur. Montez le son à fond, et jetez une oreille au Sacre du Printemps de Stravinsky (et oui, on est obligé, sur un blog de rock, de préciser "de Stravinsky" lorsqu'on parle de cette oeuvre majeure, ce qui prouve bien l'inculture crasse du fan de rock moyen, car avec n'importe qui ayant 2 sous de culture on dit simplement "Le Sacre" et tout le monde comprend) :












Je ne me fais pas d'illusions, je me doute bien que la plupart des fanas de rock qui me lisent ne prendront même pas la peine d'écouter les incroyables deux premières minutes de ce passage... ce qui prouve bien que ce qui intéresse le fan de rock, ce n'est même pas l'intensité, la violence, c'est juste deux choses :
1. L'accessibilité, des chansonnettes faciles et simplistes (le fan de rock, c'est comme un fan de varièt', mais en poseur snobinard)
2. L'image et l'identification puérile... "le classique... bah, c'est un truc de vieux, c'est joué et écouté par des vieux, lol"
Petit con... il y a plus de noirceur, de violence, de folie, d'originalité et de puissance dans cet extrait que dans l'intégrale de ton groupe de poseurs favoris....



La figure emblématique, c'est Dylan. Dans un milieu aussi crétin que le rock, facile de passer pour un poète et un type intelligent quand on a un peu plus de vocabulaire que "be-bop-a-lula", "awopbamalula" ou "yeah baby"... Dylan ne sait pas chanter, il n'est pas beau... pas grave, il a un bon sens du business, a compris que la jeunesse des 60's attend un peu plus de profondeur... bon, pas trop non plus, ils n'allaient tout de même pas se mettre à écouter des musiques intelligentes et subtiles, ni lire de la philosophie ou de la poésie... le grand processus d'abrutissement de la jeunesse dans les 50's a déjà fait pas mal de dégâts, alors le médiocre Dylan fera l'affaire.
Intelligence et rock, c'est le grand écart, d'aussi mauvais goût que de mélanger du caviar à un cassoulet industriel. Cela nous vaudra des flopées de rockeurs abrutis persuadés qu'ils ont leur mot à dire sur la marche du monde ; de Bono à Cali. Merci, Bob...

Le rock, c'était déjà un peu mollasson, on n'y trouvait pas la puissance et l'originalité du classique, pas plus que le groove fin et sensuel du jazz ou l'authenticité du blues... avec Dylan, ça devient carrément soporifique. Surtout quand il nous inflige Blonde on Blonde, premier double-album de l'histoire du rock... comme si se taper une chanson de Dylan n'était pas déjà suffisamment chiant. Il fallait vraiment que la jeunesse de l'époque ait abusé d'herbes diverses pour supporter un truc pareil. Des jeunes trop flasques pour changer le disque, qui de toute façon correspondait bien à leur apathie.
Blonde On Blonde + pétard, il n'y a pas d'équivalent pour se ramollir le cerveau.... si ce n'est le premier Velvet + tranxène. ...

alphie712

alphie712
Black Sabbath Talent Aiguille

Les Beatles, au début, ce sont des chanteurs à minettes, des compositeurs de bluettes destinées à faire fondre les gamines. Et ça marche. Moins d'influences blues dans leur musique que le rock 50's, plus de joliesse, de recherche de mélodies, des harmonies vocales sucrées... vous l'aurez deviné, si les Beatles sont historiques, c'est parce qu'ils sont à la fois le premier "grand" groupe de varièt' et le premier boys-band.
Qui a jamais écrit une chanson plus mièvre que I want to hold your hand ? Je cherche encore...

Mais ça, encore, ce n'est rien face à ce qui va suivre... inspirés par Dylan, le "Woody Allen du rock, sans l'humour et le talent", les "quatre cafards dans le vent" vont se mettre eux aussi en quête de profondeur. Sauf qu'on ne change pas sa nature aussi facilement. Ils continueront à composer toujours autant de bluettes, mais sous un habillage pseudo-esthético-intello. Les "Fab 4" qui se piquent de profondeur, c'est comme si les 2Be3 se mettaient à chanter du Schopenhauer.
Avec le bucolico-soporifique Rubber Soul... puis, un des albums les plus mal nommés de l'histoire du rock : Revolver. On a beau chercher, pas de trace de Revolver dans cette compil bébête de tubes pop. Si ce n'est qu'on a une irrépressible envie de se flinguer après avoir entendu à la suite :


- Le poujadiste Taxman
- Eleanor Rigby et ses cordes à la André Rieu
- Le bien-nommé, cette fois, I'm Only Sleeping
- Love you to qui est à la musique indienne ce que la lambada est aux musiques du monde
- La guimauve Here there and Everywhere
- Yellow Submarine, la chanson la plus con et puérile de tous les temps... enfin, jusqu'à ce que les Beach Boys fassent pire avec Pet Sounds (album entier d'une connerie et d'une puérilité égalant Yellow Submarine, c'est dire). Et que les Beatles remettent ça avec Ob-la-di Ob-la-Da.
- Le racoleur She Said She said
- L'atrocement enjoué Good day Sunshine, que même les plus béats des hippies ne pouvaient fredonner sans honte.
- And Your Bird Can Sing, une sorte de mélange des deux titres précédents... comme si on en redemandait...
- L'insipide Doctor Robert, qu'aucun fan ne placerait dans les 200 moins mauvais morceaux des Cafards.
- I want to tell you... idem.
- Got to get you into my life, ses cuivres pompeux et sa mélodie pour midinette (enfin, toutes les mélodies des Beatles sont pour midinettes... mais celle-là plus encore que la moyenne)
- Tomorrow never knows, que les incultes fans de rock osent considérer comme "expérimental"... ce qui doit bien faire marrer Boulez, Stockhausen, Ornette Coleman et des milliers d'autres, qui savaient, eux, ce qu'était l'expérimentation.

Mais ça, encore, c'est rien... les Beach Boys feront pire, et le fond du fond sera atteint par les deux albums suivants des Cafards, d'une prétention à faire hurler de rire le moindre mélomane. D'abord Sgt Pepper. Considéré comme l'album le plus important de l'histoire du rock... énième preuve de l'incommensurable mauvais goût des amateurs du genre.
Il faut reconnaître une chose à Sgt Pepper, c'est que la pochette annonce la couleur. Avant, le rock n'était qu'un truc débile d'une affligeante pauvreté musicale pour ados couillons, mais en voulant "s'enrichir" il deviendra exactement ce qu'on voit sur la pochette : un grand fourre-tout absurde, kitschissime, une musique de foire et de cirque jouée par des clowns qui se prennent pour des artistes. Un concept idiot, des arrangements pompeux, où, comme chez Clayderman, se mélangeront classique et pop... Dylan avait fait fort dans le ridicule, avec ce mélange contre-nature de poésie et de rock d'un ennui mortel... les Beatles ne sont pas en reste avec leur fusion kitsch "classico-pop-rock".
Et que dire du White Album ? Les Cafards ont mis toute leur créativité dans Sgt Pepper (c'est à dire pas grand chose), ils ne seront même pas capables de trouver un titre ou une pochette à ce double-album consternant. Quand on n'a pas d'idées, soit on ne fait rien, soit on en fait trop. Les Beatles sont passés de l'un à l'autre avec le "double-blanc"... pas de pochette, pas de titre (ce qui est une bonne chose, ils n'allaient pas remettre ça après le grotesque du titre et de la pochette du précédent)... par contre, ils en font des tonnes dans l'accumulation de chansons. Ils n'ont pas su en composer une seule intéressante, pas d'idée valable, alors ils continuent, ils continuent à nous en infliger jusqu'à ce qu'on n'en puisse plus. Ils sont en roue libre, essayent tout et n'importe quoi, mélangeant avec leur indécrottable kitsch des ballades irlandaises, de la pop, du rock bourrin avec grosses guitares, de la country, du blues, du folk, des collages pseudo-expérimentaux (mais ça, personne ne l'a jamais écouté, c'est le dernier morceau de cet album interminable, faut n'avoir aucun goût pour ne pas appuyer sur stop bien avant), du piano-bar, du music-hall... bref, manque plus que débarquent une femme à barbe et un montreur d'ours.


Je parlais du "fond du fond"... mais voilà, le rock a une extraordinaire capacité à descendre toujours plus bas. Comme la connerie, il n'a aucune limite.

Par exemple... le Velvet Underground.
Ernesto Violin dit très justement dans sa chronique de cette daube immonde :

Si la demonstration technique est une tare, la pauvreté musicale en est une autre, et le premier Velvet est à lui seul responsable d'une floppée de groupes sans intérêt, mais avec (ne riez pas) une "attitude".

Tout est dit. Ce qui ne m'empêchera pas d'en rajouter.

L'argument le plus idiot qu'on ait jamais trouvé pour justifier cet album d'une incroyable médiocrité, c'est qu'il aurait poussé des tas de jeunes - tout aussi médiocres - à fonder leur propre groupe. C'est sûr qu'en entendant un truc aussi laid et chiant, tout le monde se dit "je peux en faire autant". Ce qui rejoint l'apologie, dans le rock, du "do it yourself", qu'on retrouvera chez les punks. Il faut vraiment que les rockeurs n'aient pas le moindre petit début de sens esthétique pour considérer qu'une musique que n'importe quel crétin peut faire soit honorable. L'art, justement, c'est l'exception. Etre artiste, ce n'est pas un choix que l'on fait parce que c'est "cool", parce que c'est facile, mais parce qu'on est habité par une "vision", par quelque chose d'exceptionnel. Etre artiste, c'est un sacerdoce, cela demande la plus grande exigence, c'est aller le plus loin et le plus haut... ce n'est pas de nous endormir avec des berceuses d'une indépassable niaiserie telles Sunday Morning, Femme Fatale ou I'll be your mirror, à faire passer les Beatles pour un groupe de rockeurs enragés. Ni des chansonnettes aussi vilaines que There She Goes Again, ou de pathétiques impros bruitistes à la European Son. Ce dernier, d'ailleurs, est un des titres les plus cons de l'histoire du rock. Preuve que le Velvet n'avait absolument pas les moyens de son immense prétention.... sans doute se sont-ils dit : "le jazz, c'est chouette, ce sont des musiciens capables d'improviser... mais nous, on peut en faire autant !" Ils se lancent et... c'est le drame. Les lourdauds du Velvet réalisent que l'impro en musique, ça ne... s'improvise pas (elle est facile, mais beaucoup moins que European Son). Les jazzmen ont une véritable oreille musicale, d'excellentes connaissances théoriques, ce qui leur permet d'enchaîner des suites d'accords d'une grande richesse et se déplacer agilement et avec finesse sur les modulations les plus complexes. Pas les bourrins du Velvet, qui réalisent trop tard leur erreur, impossible de changer d'accord, de construire une mélodie... ils restent bloqués et nous emmerdent pendant plus de 7 mn sur le même matériau musical, qui n'avait déjà pas d'intérêt à la base. Et c'est là qu'il faut voir l'origine d'un des pires courants du rock, le post-rock. Le post-rock, c'est comme le prog-rock, c'est aussi prétentieux et boursouflé, sauf que c'est joué par des dépressifs qui ne savent pas jouer ni chanter, écoutés par d'autres dépressifs qui n'ont pas d'oreilles....



J'en viendrais presque à oublier le pire groupe de rock de toute l'histoire, les Stones, bien sûr. Qui symbolisent tout ce qu'il y a de plus détestable dans le rock : des petits bourgeois blancs opportunistes qui se prennent pour des bluesmen et jouent les durs. Il n'y a que les boutonneux fanas de rock qui puissent y croire et trouver quoi que ce soit de dangereux chez les Rolling Stones. Leur manager leur expliquera en gros "Vous ne savez pas jouer ? Vous n'avez pas la moindre inspiration musicale ? Pas grave... j'ai pas d'idées non plus, suffit de faire la même chose que vos prédécesseurs : piller les bluesmen noirs, comme l'ont fait l'industrie du disque blanche puis les rockeurs des 50's avant vous. Vous ne savez pas comment vous distinguer ? Mick, t'as qu'à faire le clown sur scène, tu fais la moue, tu fais la poule, tu te déhanches comme une gonzesse... les gens sont tellement cons qu'ils trouveront ça "cool". Vous êtes laids ? Suffit de jouer aux "bad boys", ça collera, et y a un créneau à prendre pour vous distinguer des Beatles"
Les Stones, c'est le rock et le marketing qui vont, main dans la main, dépouiller les jeunes en les abrutissant. On dit souvent qu'ils sont devenus une grosse machine commerciale... mais fallait être bien naïf pour ne pas réaliser qu'ils ont toujours été que ça ! ...


Le rock, c’est un produit de consommation qu’on nous recycle ad nauseam, on change juste l’emballage, on écrit « nouveau » en gros, et les fans de rock tombent bêtement dans le panneau.

On a du rock « con, simplet et bourrin », puis du rock « mou, prétentieux et chiant », et du rock « lyrico-kitsch et pompeux ». Généralement dans cet ordre. La « trinité » Elvis-Dylan-Beatles. Parfois d’autres se superposent.


Con, simplet et bourrin : Stones, Who

Mou, prétentieux et chiant : Velvet, Neil Young

Lyrico-kitsch et pompeux : Rock-prog et glam-rock




On repart à zéro…


Con, simplet et bourrin : Punk

Mou, prétentieux et chiant : Cold-Wave

Lyrico-kitsch et pompeux : New-wave commerciale (U2, Simple Minds…)



Pendant que le hard passse de con, simplet et bourrin (AC/DC, Mötörhead) à lyrico-kitsch et pompeux (heavy et speed-metal, shredders), puis on retrouve :

Con, simplet et bourrin : Thrash

Mou, prétentieux et chiant : Doom, Stoner

Lyrico-kitsch et pompeux : Metal-prog




Et c’est reparti dans le rock fin 80’s et 90’s…



Con, simplet et bourrin : Pixies, hardcore

Mou, prétentieux et chiant : Shoegazing, Lo-fi, Grunge (qui réussit à être en même temps con, simplet et bourrin)

Lyrico-kitsch et pompeux : Radiohead, Muse




Et dans les années 2000 ? Vous ne devinerez jamais…



Con, simplet et bourrin : Strokes, Libertines, White Stripes, le « retour du rock à guitares »

Mou, prétentieux et chiant : Le retour du folk-rock (on recycle, on recycle…), post-rock, drone

Lyrico-kitsch et pompeux : Arcade Fire, Mars Volta, succès de l’immonde genre qu'est le Metal Symphonique, Mika qui ressuscite le 2° groupe le plus minable de l’histoire du rock après les Stones (Queen).
...


Pour tout lire ( ça vaut le coup ! ) :

http://art-rock.over-blog.com/article-20561385-6.html#anchorComment

Dans la même veine iconoclaste :

http://membres.multimania.fr/mrourspolaire/page.htm#Brian%20Wilson%20-%20Smile


Sacrilège bien sûr ! Mais roboratif pour ne pas s'endormir sur des certitudes...
Bonne lecture ! Mr Green

kermit__

kermit__
King of the Nenuphar

Selon la célèbre maxime de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme », elle-même empruntée au philosophe grec Anaxagore de Clamozènes. L'Art tout court, comme l'art musical, ne sont que des triturages du passé remis au goût du jour. Depuis ce dernier siècle, avec l'avénement des transports de masse, les triturages se réalisent également entre les styles culturels et donnent la World music. qui résulte d’un métissage entre des patrimoines musicaux très variés. La mondialisation (l'uniformisation) va se charger de digérer tout ça !

4Le rock c'est de la merde Empty Re: Le rock c'est de la merde Sam 6 Sep - 13:02

Vero

Vero
Taulière du Taulier, admin
Taulière du Taulier, admin

J'ai survolé l'article, si c'est du second degré, parfois on se demande...
je prendrais le temps de lire, ça semble finalement drôle. Mr Green

http://www.culture-et-confiture.com/

5Le rock c'est de la merde Empty Re: Le rock c'est de la merde Sam 6 Sep - 15:35

pilou

pilou
jamais content

Arf Moijdis !
C'est bien troussé, mais on sent que le gars en croit pas un mot de ce qu'il écrit ;-)

6Le rock c'est de la merde Empty Re: Le rock c'est de la merde Sam 6 Sep - 17:33

berny

berny
Taulier de la Taulière, admin
Taulier de la Taulière, admin

C'est assez extraordinaire !
Il y a pas mal de vérité dans ce qu'il dit.
Le style me fait penser à l'inélarable Nicolas Ungelmuth de Rock and Folk qui n'a pas son pareil pour descendre les mythes.

7Le rock c'est de la merde Empty Re: Le rock c'est de la merde Jeu 18 Sep - 0:14

la petite mu

la petite mu
Kitchi kitchi ayayaya

Eleanor Rigby et ses cordes à la André Rieu

- Love you to qui est à la musique indienne ce que la lambada est aux musiques du monde


mouarf

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